Mardi décembre, le Conseil d’État traitera de l’appel interjeté par le KNAC contre la décision du tribunal de district d’Utrecht concernant la zone de protection de l’environnement à Utrecht. Le 6 de janvier, le tribunal de district d'Utrecht a statué dans un certain nombre d'objections fondées mais a néanmoins décidé de maintenir la zone environnementale. Le KNAC, opposé à la zone environnementale depuis 10, n'était pas d'accord. La session commence à l'heure 2013.
Juste à temps. Le tribunal d'Utrecht a initialement annulé le décret sur la circulation de la commune d'Utrecht. L'objection du KNAC à cette décision a même été jugée fondée. La Cour a également estimé que l’effet de la zone environnementale était marginal. Elle l'a trouvé pas en ligne avec les résultats publiés par la municipalité d'Utrecht.
Des questions encore ouvertes
Le KNAC a fait valoir que la zone engendre des coûts considérables. La municipalité et les automobilistes paient la facture pour la mise en œuvre et la préparation négligentes. "S'il doit y avoir une zone environnementale, alors une politique nationale uniforme doit être en place", a déclaré le KNAC, une position qui perdure aujourd'hui. En outre, le tribunal n'a pas inclus la motion de la Chambre basse à la fin de l'année dernière. Il s’agissait de la motion adoptée selon laquelle l’office utilisé jusqu’à présent pour les zones environnementales ne devrait pas s’appliquer aux voitures particulières. Enfin, le rapport pollution / autres usagers de la route n’a pas été pris en compte.
Espoir établi au Conseil d'État
Le 6 décembre, le Conseil d'État pourra donc envisager cette forme de procédure judiciaire. La décision de janvier était en contradiction avec les conclusions du tribunal et du KNAC. En outre, il est également démontré à Rotterdam que l'effet de la zone environnementale ne peut être mesuré. Peut-être que ces points de départ peuvent également être inclus dans l'évaluation. Les émissions ne connaissent pas de frontières et font partie d'un tableau beaucoup plus large. Ceux-ci affectent la qualité de l'air aux Pays-Bas et dans la région. Celles-ci sont également influencées par des facteurs transfrontaliers (lire: l'étranger et le fonctionnement de Dame Nature). Le Conseil d'État serait honoré si ces considérations - en plus des arguments évoqués par le KNAC - étaient prises au sérieux et mises en œuvre dans une politique de circulation décente. La décision suivra dans un délai maximum de treize semaines. Cela peut également venir plus tôt, car le Conseil d'État peut prendre une décision immédiatement après la réunion.